Les journées au travail peuvent être très longues, ce sont ces petits détails du quotidien qui, accumulés, fatiguent petit à petit. Pourtant, d’après les statistiques de l’institut DARES, un salarié qui est écouté aurait 1,5 fois moins de « chances » d’éprouver un syndrome dépressif qu’un salarié qui est simplement écouté. L’écoute permettrait de vaincre le burn-out ?
Que l’on soit déjà arrivé au point de rupture ou de plus en plus affecté par des évènements liés au travail, il est essentiel de se libérer, quotidiennement ou à postériori. Suite à mon histoire, j’ai compris qu’il était préférable de mettre des mots sur ces émotions plutôt que tenter de les refouler ou de se remettre en question, sans cesse, comme j’avais fait jusqu’alors. STOP LE TABOU. Exprimez vous, librement et anonymement, sur travailecoute.com