Ici nous pouvons parler, être écouté, reconnu, être conseillé et conseiller, GRATUITEMENT, LIBREMENT & ANONYMEMENT sur des sujets liés au travail. Il peut s'agir d'expériences concernant le burn-out, l'épuisement, le stress, la dépression, le bore-out, les maladies professionnelles. Il n'est pas toujours évident de parler du travail, de ces émotions, ici c'est possible.
Oui, une entreprise inclusive, c’est 3 fois plus de chance d’être heureux au travail !!! 🌈☔
Des chiffres parlants
Et d’après l’étude du cabinet Deloitte : « les entreprises qui pratiquent une politique inclusive génèrent jusqu’à 30 % de chiffre d’affaires supplémentaire par salarié et une profitabilité supérieure à celle de leurs concurrents« .
Le BIT, lui, (Bureau International du travail) affirme que les organisations ont 60 % de chances supplémentaires de voir leurs profits et leur productivité augmenter, d’avoir une meilleure réputation, de mieux attirer et conserver les talents, d’engendrer plus de créativité et d’innovation…
Bref, voilà des chiffres bien motivants pour les employeurs qui tardent encore à instaurer un climat bienveillant pour chacun. 😊🤞
Une entreprise inclusive, c’est quoi concrètement ?
C’est une organisation qui met en place des actions visant à prévenir les discriminations et le harcèlement vis-à-vis du handicap, de l’âge, de l’origine sociale ou la culture, du genre, de l’orientation sexuelle, de l’apparence physique ou encore à la situation sociale.
Avant on parlait d’intégration, maintenant on va (un peu) plus loin, on parle d’inclusion.
Un jour, j’espère, on ne parlera même plus de « différence », on s’acceptera tous les uns les autres, avec nos particularités…
Employeur, tu patauges dans la semoule avec tout ça ?
Toutes mes expériences professionnelles depuis mon entrée sur le marché du travail (stages inclus) ont été marqués soit par la présence de personnes toxiques qui malmènent de manière totalement décontractée leur collègues j’ai également été confronté à des défaillances managériales (manque d’organisation manque total d’éthique et de bienveillance de la direction).
Voici quelques exemples:
Le terme bougnoule / terroriste et autres termes racistes utilisés pour parler de personne typés en pleine open-space (je suis d’origine maghrébine) aucune réaction des collègues ou du manager.
Ma direction m’a forcé de reprendre le travail sans équipements de protection alors qu’on était confiné avec le contexte covid, quand j’ai refusé de prendre des risques pour ma santé ils m’ont expliqué que je manque de bonne volonté alors qu’ils étaient tous en télétravail.
J’ai signalé la présence de harcèlement et manque de bienveillance de certains collègues à la direction on m’a répondu que c’était pareil partout et qu’il fallait du mental.
J’ai encore de nombreuses tristes anecdotes, le constat c’est que ça me dégoûte du monde du travail alors que je suis en début de carrière je suis d’ailleurs en train de remettre en question tout mon professionnel.
Des solutions existes :
Plus de formation et accompagnement aux managers.
Plus d’éthique et de bienveillance doivent être pris en compte dans les stratégies d’entreprise.
Le respect d’autrui et comportement doivent être primordiales dans un cadre professionnel.
C’est une thématique qui me tient à cœur je suis dispo pour échanger.
Vous aussi ? Vous avez connu des pratiques et/ou des comportements au travail qui vous semblent inadmissibles ?
Racontez-nous ! Sur TravailEcoute, vous pouvez témoigner anonymement et gratuitement, pour vous libérer et peut-être faire changer les choses !
Vous avez besoin de plus, d’être accompagné, de parler à quelqu’un qui vous comprenne vraiment.
« Tu n’as pas à prendre de vacances… tu n’es pas une employée à problèmes, tu n’es pas mère célibataire avec des enfants… »
« Si j’étais toi, je ferais ce qu’ils vont te dire sans broncher… »
« Si tu prends tes vacances, tu seras dans le viseur des licenciements économiques. Tu auras pris des vacances donc tu n’auras pas contribué comme tout le monde pour sauver la boîte ! »
« Tu étais en télétravail ? écoute, la déclaration à temps partiel sur ton bulletin c’est pour sauver vos postes et sauver la boîte. Estime-toi heureuse et reconnaissante d’avoir encore du boulot ! »
« Tu n’auras qu’une semaine de vacances et la deuxième on la fait sauter ? ça te va ? »
Les organisations, plus que jamais, sont confrontées à de nouveaux défis.
Même si nous sommes capables de travailler, dotés d’un savoir-faire, faut-il encore être « dans la mesure de faire » (c’est ce que l’on appelle la capabilité, terme utilisé par l’économiste et philosophe indien, Amartya Sen, prix Nobel de sciences économiques en 1998).
Mais ce « pouvoir d’être et de faire » ne dépend pas, uniquement, de nous. C’est pourquoi je ne donne jamais de « recette miracle anti-burn-out ».
En effet, nous pouvons détenir des capacités individuelles (avoir de l’expérience, avoir le désir d’agir, avoir une capacité de projection, être optimiste…) et ne pas pouvoir développer son potentiel. Dans ce cas-là, l’environnement de travail n’est pas « capacitant ».
Pour mettre en œuvre une capacité, l’environnement de travail doit offrir un contexte propice à l’accomplissement, en facilitant la mobilisation de plusieurs facteurs :
Facteurs individuels : sexe, âge, caractéristiques génétiques, expériences, niveau de formation
Facteurs sociaux : héritage social de l’individu, équipe de travail
Facteurs environnementaux : contraintes et opportunités géographiques et institutionnelles, contexte normatif et culturel, moyens techniques, organisation du travail…
C’est donc en aidant les personnes, à faire que ces facteurs deviennent de véritables ressources, qu’il sera possible de créer un contexte créatif et performant.
Qu’il s’agisse des étudiants, des soignants, des télétravailleurs, ou de ceux qui continuent à travailler dans ce contexte particulier qu’a créée le #COVID-19, tous participent aujourd’hui à forcer les institutions à devenir, non plus apprenantes, mais capacitantes. Au fond, je trouve ça plutôt cool. A voir ce qu’il en restera…
36% des interrogés auraient déjà fait un « burn-out », soit une personne sur trois.
D’après une enquête menée en 2016 sur 200 000 personnes, 36% des interrogés auraient déjà fait un « burn-out », soit une personne sur 3 (source : Parlons Travail – CFDT). C’est ENORME ! C’est BEAUCOUP trop. Le taux s’élève à 54% chez les chômeurs. Comment avoir envie de travailler après avoir été déçu par le monde du travail ? Pourquoi la société actuelle s’enlise dans un système productif parfois inhumain et vide de sens ? Le burn-out n’est pas une affaire isolée, lorsqu’une personne sur trois est touchée, c’est un problème de grande ampleur.
La cause ? La difficulté à être écouté, à pouvoir s’exprimer, à pouvoir se plaindre, à donner son avis, à remettre en question l’existant… Et qu’en est-il de la liberté d’expression ? Le burn-out ne doit pas être un tabou. La honte doit changer de camp. La sensibilité de chacun doit être prise en compte, avec bienveillance et sans jugement, pour qu’enfin les choses changent positivement. Retrouvez les 3 symptômes de l’épuisement professionnel ici.
La « lucidité » est définie dans le Larousse comme « l’état de quelqu’un qui a toute sa conscience. Qui juge, voit clairement, objectivement les choses dans leur réalité ». Les salariés sont-ils plus lucides que les dirigeants d’organisations ? 7 personnes sur 10 le pensent, soit plus de 70% des personnes ayant répondu à l’enquête (source : Parlons Travail – CFDT). Et vous, qu’en pensez-vous !? Racontez nous ici.
Peut-on être heureux au travail lorsque l’on passe plus de temps à rendre des comptes qu’à réellement créer de la valeur ajoutée ? A ce jour, deux personnes sur cinq, ayant répondu à l’enquête estiment être dans ce cas-là (source : Enquête Parlons Travail – CFDT). D’ailleurs, les hommes semblent être plus nombreux à déclarer « parfois, j’ai l’impression que je passe plus de temps à rendre des comptes qu’à travailler » que les femmes (46% contre 42% pour ces dernières). Et vous ? Partagez-vous ce sentiment ? Acceptez-vous facilement de devoir justifier votre travail ? Venez donner votre avis et partager votre opinion, librement et anonymement, ici.
58% des personnes ont répondu « oui » à l’affirmation suivante : « Il m’est déjà arrivé de pleurer à cause de mon travail » (source : Enquête Parlons Travail – CFDT). Et vous ? Avez-vous déjà pleuré à cause de votre travail ? Tout ce qui n’est pas exprimé est imprimé. Exprimez-vous, librement et anonymement en cliquant ici.
Un salarié qui est écouté aurait 1,5 fois moins de chances d’éprouver un syndrome dépressif qu’un salarié qui est simplement écouté.
Les journées au travail peuvent être très longues, ce sont ces petits détails du quotidien qui, accumulés, fatiguent petit à petit. Pourtant, d’après les statistiques de l’institut DARES, un salarié qui est écouté aurait 1,5 fois moins de « chances » d’éprouver un syndrome dépressif qu’un salarié qui est simplement écouté. L’écoute permettrait de vaincre le burn-out ?
Que l’on soit déjà arrivé au point de rupture ou de plus en plus affecté par des évènements liés au travail, il est essentiel de se libérer, quotidiennement ou à postériori. Suite à mon histoire, j’ai compris qu’il était préférable de mettre des mots sur ces émotions plutôt que tenter de les refouler ou de se remettre en question, sans cesse, comme j’avais fait jusqu’alors. STOP LE TABOU. Exprimez vous, librement et anonymement, ici.
Plus d’une personne sur deux se déclare en situation de fragilité.
Plus d’une personne sur deux se déclare en situation de fragilité, en France, en 2018 dans le secteur privé (source : Malakoff Médéric).
Alors pour « mieux-être », n’hésitez pas à retrouver nos conseils. Et si vous avez des astuces ou souhaitez partager votre histoire, on attend de vous lire avec impatience ici !